LA CRISE EST FINIE

LA CRISE EST FINIE

Aucun avis pour le moment Rédiger un avis

Au tournant de la quarantaine, il ne trouve plus de travail, il n'a plus d'argent, il est seul. Pourtant, il fait tout pour essayer de s'en sortir : les petits boulots, les castings, les appels aux copains... Il se questionne pour comprendre pourquoi il en est arrivé là.
Lire la suite

Une petite voix intérieure pleine d'optimisme et de sagesse va l'aider dans sa quête de réponses : celle du " Grand Jean-Claude ", son ancêtre, vedette de music-hall dans les années 30.
Stéphane est morose et angoissé, Jean-Claude toujours joyeux et positif. Il représente une sorte de figure tutélaire pesante, qui le renvoie à son échec personnel.
Nous connaissons tous ce dialogue intérieur entre le découragement et l'envie de se battre. La grande sagesse de Jean-Claude (de là où il est, il a eu le temps de réfléchir...) permet à Stéphane de comprendre les mécanismes qui le maintiennent dans l'échec.
La crise ne disparaît-elle pas si on se débarrasse de la nostalgie du passé, de l'angoisse du futur, pour vivre pleinement l'instant présent, seule réalité ?
Ne disparaît-elle pas si on accepte qui on est, ce que l'on a, et où l'on est ?
Tout ne dépend-il pas de comment on envisage la situation, comment on la transforme, plutôt que de comment on imagine qu'elle est ?

 

Humoriste